« L’archet de la jeune femme élance les mouvements extrêmes avec flamme, et les deux partenaires donnent de superbes couleurs (modales) aux horizons lointains du finale. […] Superbe. » | François Laurent, Diapason, avril 2019
« Lyrisme et poésie, ardeur et confidences secrètes se marient avec une rare maîtrise dans une composition dont les interprètes saisissent tout l’esprit. Souplesse de ligne, fervente pudeur, délicatesse et variété des coloris : le but est atteint – avec un tact parfait ! […] Le sens des caractères et le chic du duo émerveillent. » | Alain Cochard, Concertclassic, mai 2019
« Ce programme est une aussi bonne idée qu’il est bien réalisé. […] C’est très beau. » | Jean-Marc Warzawski, Musicologie.org, février 2019
« Stéphanie Moraly and Romain David give a full-bloodied account, rich in musical insights and fully mining the score’s poetry and lyricism. […] Aubert’s captivating scores could have no better advocates than Moraly and David, who perform them with admirable commitment. » | Stephen Greenbank, musicweb-international, février 2019
“Stéphanie Moraly als Geigerin und Romain David für den Pianopart wissen mit elegantem, manchmal auch geradezu stürmischem Spiel die Reize der Musik effektvoll heraus zu kitzeln und machen somit die Kompositionen dieses wenig bekannten Vertreters der französischen Tonsprache zu einem reizvollen Hörerlebnis. »
[Stéphanie Moraly en tant que violoniste et Romain David pour la partie de piano savent chatouiller les charmes de la musique avec un jeu élégant, parfois même orageux et faire ainsi des compositions de ce représentant méconnu de la langue tonale française un plaisir d’écoute.] | Pizzicato, février 2019
« Un programme rare et très bien construit, investi par les deux comparses avec tout le talent qu’on leur connaît. » | Thierry Vagne, vagnethierry.fr, janvier 2019
« L’animation curieusement fantasque des rythmes et le chatoiement des couleurs donnent à cette musique une pulsation, un élan que Stéphanie Moraly finement virtuose et Romain David énergiquement allègre mènent à train soutenu jusqu’à la pirouette finale. […] La Berceuse de la suite brève (1900), toute de charme, offre à Stéphanie Moraly de délicats épanchements, dont l’Aubade de 1948 ravivera le souvenir. […]
Un hommage musical pour violon et piano, non seulement judicieux et utile, mais encore séduisant et pénétrant. » | Jean Jordy, utmisol.fr, février 2019
« Bel album monographique que consacrent au compositeur Stéphanie Moraly et Romain David […]. C’est à la Sonate que vous reviendrez d’abord, d’autant qu’elle a trouvé en Stéphanie Moraly une interprète experte qui sait tout de la sonate pour violon et piano française. » | Jean-Charles Hoffelé, Artamag’, www.artalinna.com, mars 2019
« La version de Romain David et Stéphanie Moraly, excellente violoniste et spécialiste de la sonate française, à laquelle elle a consacré sa thèse de doctorat, se montre plus tendue, plus vive, mais aussi mieux enregistrée et plus équilibrée. […] Un très bel hommage […]. » | Jacques Bonnaure, Classica, septembre 2020