« Le timbre chaleureux et expressif de Stéphanie Moraly et le piano ample, rond et moelleux de Romain David sont idéalement adaptés à ce poème de la forêt dont ils soulignent les effusions d’un rubato discret. Leur rigueur et leur précision font merveille dans le riche entrelacs des polyphonies du finale. Ils surclassent sans peine les versions antérieures, plus “petites” et moins ciselées dans le détail. […] Une sonate et un quintette, offerts par des musiciens engagés et inspirés. Un magnifique hommage à l’un de nos plus grands compositeurs (si négligé !), qui s’inscrit d’emblée comme une référence. » | Pierre Massé, Classica, février 2018
« Il n’est que d’entendre le début de la Sonate pour violon et piano op. 64 (1916) sous l’archet de Stéphanie Moraly, de savourer la manière dont le compositeur parvient à faire chanter la lumière, pour éprouver l’envie de poursuivre la découverte du bel enregistrement où le violon radieux de S. Moraly s’unit au piano frémissant de couleurs de Romain David. » | Alain Cochard, concertclassic.com, septembre 2017
« Deux chefs-d’œuvre de la maturité défendus par un excellent ensemble français. Les musiciens nous subjuguent… » | François Laurent, Diapason, novembre 2017
« Les couleurs rares qui nourrissent l’intériorité de la Sonate ne pouvaient trouver d’interprètes plus aptes à en traduire toutes les nuances. La somptueuse palette du piano, ici, enveloppe et porte un violon tout à la fois arachnéen et profond, sensuel et religieux, qui parait vouloir répondre tout au long de la partition à l’appel irrésistible de sa première phrase, dont l’auteur demandait qu’elle soit jouée à la manière d’une viole d’amour ! » | Alexis Galpérine, Amis de la musique française, novembre 2017
« Their performances on this captivating disc are fired with enthusiasm and consummate musicianship. I could think of no better advocates for these alluring scores. » | Stephen Greenbank, musicweb-international, février 2018
« Dès l’entrée des deux instrumentistes on est saisi par un sentiment d’intimité poétique très prenant. […] Magnifique. » | Thierry Vagne, musique classique & Co, août 2017