A Tale of the World

Quintette Syntonia

1 octobre 2020
Olivier Greif | Quintette Syntonia
CIAR Classics
Number of discs: 1

Une « oeuvre-monde » extraordinaire, jamais enregistrée auparavant, où les musiciens parlent et chantent en jouant, en français, anglais élisabéthain, sanscrit, italien, allemand, des textes de Proust, Joyce, Basho, Hölderlin, ou du Baghavad Gita…
Un immense voyage, une expérience inoubliable.

« On n’aurait pas pu rêver meilleurs interprètes pour tirer de l’oubli ce chef-d’oeuvre. » | Sarah Léon, Choc de Classica, mai 2021

« Impeccable sous le rapport de la fidélité au texte, l’interprétation du Quintette Syntonia est surtout habitée par une conviction irrésistible et une connaissance incomparable du style visionnaire de Greif. Au-delà d’une œuvre injustement négligée depuis sa création en 1996, les cinq artistes ressuscitent Olivier lui-même dans toute son ardeur, son éloquence, dans son rêve du monde, des mondes, réunis par le miracle de la création. » | Gérard Condé, Diapason, novembre 2020

« [Les Syntonia] vivent et font vivre cette musique avec toute l’intensité, le rythme stimulant et finalement l’état de grâce final nécessaires à cette musique, et surtout ils parviennent à donner à l’ensemble cette unité supérieure (celle du chiffre 5, justement) que Greif recherchait à travers une frappante diversité de climats. » | Jean-Christophe Le Toquin, Resmusica, novembre 2020

« A Tale of the World, Everest qu’ils redoutaient de franchir tant ses difficultés sont considérables, est un chef-d’œuvre qu’ils transcendent par leur jeu intense, et une cohésion de tous les instants dans l’approche artistique et spirituelle de celui-ci. Chaque épisode en est vécu de façon collective, dans une même énergie, dans une unité conceptuelle, expressive et émotionnelle sans faille, cette unité qui faisait l’obsession de Greif. L’ensemble Syntonia parvient à rendre cette œuvre puissante, ardente et accessible, intelligible dès sa première écoute, au point que ses cinquante minutes n’en paraissent pas dix, ni davantage, ni moins : elles nous transportent hors du temps, dans un espace qui englobe tous les autres, dans un mouvement du monde, loin du chant aujourd’hui discordant et sombre de notre Terre. » | Jany Campello, Con spirito, février 2021

 

Share: